Le courriel ci-dessous reproduit a été mis comme pièce à charge dans le dossier pénal constitué contre son auteure, Sophie Perrin. Il est censé y illustrer sa violence, sa virulence, sa volonté de harcèlement moral envers l’université Lyon 2 et/ou ses membres, etc, par l’envoi « de centaines de messages électroniques à une liste mail constituée de centaines de destinataires ». Il constitue ainsi les pages 153 à 157 d’un dossier de 200 pages de ces insupportables courriels qu’il faut à tout prix faire cesser, soit 2,5% de ce dossier, ce qui, cumulé avec les pièces précédentes, nous mène à 24,5% de ce volume.
Ca, une pièce à charge ? Des propos condamnables pénalement ?
Que mon public juge, sur pièce, encore une fois.
Et qu'il se souvienne que cet entretien avec André Tiran, le 10 septembre 2010, est la "charnière" qui précipite ensuite Sophie en enfer : les 4 SMS pour lesquels elle reste condamnée en appel pénal à se faire "soigner psychiatriquement" durant 18 mois sous peine d'aller en prison durant deux mois, et également à verser 1000 euros de dommages et intérêts à Marie-Carmen Garcia (1), sociologue qui co-dirigeait ses travaux et lui avait donné, à titre personnel (affinitaire et non universitaire) son n° de portable, datent du 11, 12 et 13 septembre 2010.
La rédaction du courriel-compte rendu d'entretien ci-dessous reproduit, le 13 septembre 2010, fut l'issue que Sophie trouva pour cesser de souffrir de ce qui venait de se passer, en publicisant ainsi la violence de cet "entretien", au lieu de continuer à envoyer des SMS d'insomniaque comme elle l'avait fait durant ces trois jours...qui plus est à quelqu'un qui faisait silence, uniquement silence, après être arrivée en retard à la soutenance de Sophie en expliquant : "j'avais failli oublier que c'était aujourd'hui".