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dimanche 24 septembre 2017

Lyon 2, après une semi-victoire en appel, fait relancer la procédure retirée par le Parquet début 2016 !



Le 4 octobre 2017 : tou.te.s à l’audience en soutien à Sophie !
TGI, 67 Rue Servient, Lyon 3e, 8e chambre correctionnelle, à partir de 14h


Sophie Perrin, salariée, militante syndicaliste à la CGT depuis 2001, libertaire, féministe, a repris des études à l’université Lyon 2 et soutenu un mémoire de master recherche anthropologie intitulé « l’inceste : consistance du silence » (noté 18/20 et lauréat du prix scientifique de la CNAF) en 2010. 
Depuis, pour avoir voulu y défendre, en vain, sa possibilité d’accéder au doctorat, elle est l’objet d’un véritable harcèlement judiciaire de la part de certains des membres (ou ex-membres) de cette université.
Il s’agit ici de la troisième procédure pénale intentée contre Sophie à l’initiative de ces personnes depuis 2011.

Sommaire :

1)      Qui sont les plaignant.e.s ?
2)      C’est quoi cette plainte ?
3)      C’est quoi ce verdict ?



1) Qui sont les plaignant.e.s ?

MARIE-CARMEN GARCIA, professeure en sociologie, « féministe », qui a notamment déclaré dans ses PV de police comme élément à charge à propos de Sophie que « Je vous informe qu’elle est très impliquée dans le mouvement syndicaliste et anarchiste. »,
et donc que « Elle adore contrer les règles. Par exemple, elle est exclue des locaux et du coup elle ne fait que venir à l’université d’où elle se fait raccompagner par les agents de sécurité se faisant passer pour une pauvre étudiante que l’on empêche de poursuivre ses études. »

André Tiran, professeur en économie, qui est l’auteur de l’interdiction, prise fin 2010, depuis reconnue comme abusive et annulée par la justice administrative, de tout accès aux locaux de l’université Lyon 2 durant plus de 2 ans subie par Sophie alors qu’il en était président.

Lionel Obadia, professeur en anthropologie, qui a interdit abusivement à Sophie de concourir pour l’embauche en contrat doctoral ministériel alors qu’il était directeur de l’école doctorale, en abusant de la confiance que lui faisaient ses pairs.

Gilles Maletras, le juriste de l’université en charge de la confection concrète du dossier falsificateur monté pour la traîner en justice.