Il s'y agit, par l'intermédiaire de l'échange utilisant la fiction, mais aussi de posts beaucoup plus sérieux, de rendre à l'imagination tout son pouvoir de changer un réel trop souvent morne et oppressant.
« La fiction, jadis, c'était ce qui me permettait de tenir, lorsque la réalité que je vivais était trop dure.
Cela aussi, c'était un réel très très morne, et très très oppressant.
La newsletter du CREA'tif, c'est donc aussi le lieu pour parler de ce genre de réalités : »
Merci aux graffeurs lyonnais pour ce passage ("si papa te touche, dis le !!"), qui fera au moins réfléchir les travailleurs sociaux de cette maison du Rhône-là. |
En plus de la visite des best of du créa'tif, vous pouvez demander votre inscription à cette newsletter, là, en cliquant sur "abonnement" : le groupe riseup CREA'tif. Vous aurez ainsi à plein d’inédits, qui pour un certain nombre, ne seront jamais sur le blog, car tous ne peuvent être les « best of »…
Qu'est-ce que RiseUp ?
Cliquer ici pour le savoir.
Précision : le CREA'tif n'est pas sponsorisé par l'ANR, et n'a aucun rang au classement des revues par l'AERES.
Que cette dernière lui donnerait un majestueux rang A, il refuserait : en effet, le CREA'tif ne reconnaît aucune légitimité ni valeur scientifique ou qualitative à ce classement. C'est sa manière à lui de perpétuer et maintenir vif l'esprit du mouvement de 2007 et 2009.
Le CREA'tif est classé de rang A+++ à son propre applaudimètre, ce qui est le meilleur classement possible. Il est, en effet, parmi les plus prolifiques et foisonnantes des revues qui soient…hors classement !
Le CREA'tif soutient par son action et son existence l'appel à ne pas trahir 2009 : libérer l'Université, reconstruire un service public universitaire pour tous.
Le CREA'tif proteste vigoureusement contre toute augmentation des droits d'inscription universitaires, ou stages obligatoires dans les cursus, car ces choses-là minent tout espoir pour les enfants du peuple (ou les enfants de personne, comme l'auteure de ces lignes...) de pouvoir faire des études dans l'Université.
Il réclame le maintien des bourses sur critères sociaux pour les personnes entrant en doctorat, ce qui est un minimum même pas en vigueur aujourd'hui (la pauvreté s'arrêterait à l'entrée en thèse ? Ou bien sont-ce les enfants de pauvres qu'on arrête ainsi à l'entrée en thèse ?).
Il lutte résolument, par sa prose bien acérée, contre le mandarinat, cette scorie non expulsée de l’Université, et qui date, au moins, du haut moyen-âge, mais que beaucoup tolèrent…
Le CREA'tif, issu du peuple, se bat par sa plume pour le respect du peuple et de tou.te.s les déshérité.e.s qui en font partie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire