Bienvenue sur ce blog. Pour suivre le fil de l'histoire si vous n'êtes jamais venu.e, le mieux est de cliquer sur le libellé « Présentation et entrée en scène des personnages importants de l'histoire ». Vous pouvez ensuite bifurquer par exemple vers « la Geste de Lyon 2 », « 22 les v'là - tonfa company story », « Autofiction », ou encore feuilleter les saynètes de votre choix dans « Les saynètes du crea'tif ».

Ou bien aller fureter, selon vos goûts et envies, dans les libellés thématiques : « Anthropologie », « Réflexions théoriques », « Micro-histoire (microstoria) », « Plaint'if : la plainte de Lyon 2 », « Revendica'tif », « Féminisme », ou encore « Etre victime ? Débat sur "l'être victime" et ses parcours - à partir de l'exemple de l'inceste ».

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Bonne lecture à vous, espérant qu'elle vous sera plaisante.

vendredi 29 novembre 2013

Droit de réponse du syndicat FSE Lyon, et alentours, suite au CA de Lyon 2 du 22 novembre 2013


Voici tout d'abord la communication de la présidence :


Le CREA'tif, bien conscient des enjeux de cette communication(1), et habitué depuis 3 ans déjà à la répression et aux mensonges présidentiels et mandarinaux de la part de Lyon 2, et nonobstant en l'occasion l'attitude plus que légère de ce syndicat (FSE) depuis 2010 dans l'affaire Sophie Perrin/Lyon 2(2), ouvre sa tribune au syndicat FSE en réponse.

jeudi 28 novembre 2013

les victimes ... sous une bonne couche de glace sibérienne ?


Envoyé le : Lundi 18 octobre 2010 21h50
Objet : [CREA'tif] les victimes ... sous une bonne couche de glace sibérienne ?


Bonsoir,

Voici donc la suite de la discussion sur « les victimes », toujours en présence de notre invitée (temporaire et intermittente), Liliane Daligand.

Après Denise Schiller, qui nous disait qu’avoir subi un trauma rend plus sensible aux souffrances d’autrui, voici de nouveau Auteure obligatoirement anonyme, qui nous communique une forme de réplique :

Auteure obligatoirement anonyme me fait, en effet, remarquer que certaines victimes réagissent au contraire en devenant « indifférentes », et elle me renvoie à cette partie là de son site :

http://viols-par-inceste.blogspot.com/2010/10/14-apres-un-choc-emotionnel-les.html

où je trouve :


dimanche 24 novembre 2013

André Tiran et quelques autres, "rencontré.e.s" autour du 10 septembre 2010

Le courriel ci-dessous reproduit a été mis comme pièce à charge dans le dossier pénal constitué contre son auteure, Sophie Perrin. Il est censé y illustrer sa violence, sa virulence, sa volonté de harcèlement moral envers l’université Lyon 2 et/ou ses membres, etc, par l’envoi « de centaines de messages électroniques à une liste mail constituée de centaines de destinataires ». Il constitue ainsi les pages 153 à 157 d’un dossier de 200 pages de ces insupportables courriels qu’il faut à tout prix faire cesser, soit 2,5% de ce dossier, ce qui, cumulé avec les pièces précédentes, nous mène à 24,5% de ce volume.
    Ca, une pièce à charge ? Des propos condamnables pénalement ?
    Que mon public juge, sur pièce, encore une fois.



Et qu'il se souvienne que cet entretien avec André Tiran, le 10 septembre 2010, est la "charnière" qui précipite ensuite Sophie en enfer : les 4 SMS pour lesquels elle reste condamnée en appel pénal à se faire "soigner psychiatriquement" durant 18 mois sous peine d'aller en prison durant deux mois, et également à verser 1000 euros de dommages et intérêts à Marie-Carmen Garcia (1), sociologue qui co-dirigeait ses travaux et lui avait donné, à titre personnel (affinitaire et non universitaire) son n° de portable, datent du 11, 12 et 13 septembre 2010.

La rédaction du courriel-compte rendu d'entretien ci-dessous reproduit, le 13 septembre 2010, fut l'issue que Sophie trouva pour cesser de souffrir de ce qui venait de se passer, en publicisant ainsi la violence de cet "entretien", au lieu de continuer à envoyer des SMS d'insomniaque comme elle l'avait fait durant ces trois jours...qui plus est à quelqu'un qui faisait silence, uniquement silence, après être arrivée en retard à la soutenance de Sophie en expliquant : "j'avais failli oublier que c'était aujourd'hui".